Définition

L’incorporation est le processus d’intégration à un corps humain d’objets (prothèses, bijoux, etc.) ou de symboles (marquages, configurations ou processus plus ou moins récurrents, à visée normative ou non), spécifiques à tel ou tel groupe auquel il ressortit. Ce concept contribue à mieux appréhender la perpétuation d’un ordre social à la faveur du va-et-vient entre « individu » et « société ». Contrairement à l’incorporation matérielle, encore peu étudiée par les sciences humaines et sociales (Rosselin, 2008), l’incorporation symbolique fait l’objet d’un nombre croissant de travaux, impulsés en grande partie par la théorie de la pratique de Pierre Bourdieu.

Depuis Esquisse d’une théorie de la pratique jusqu’à Manet. Une révolution symbolique en passant par La distinction et Le sens pratique (Bourdieu, 2000 ; 2013 ; 1979 ; 1980a), le sociologue a analysé le corps comme un élément déterminant dans l’engendrement, le déroulement et les effets des pratiques humaines. Le corps d’un agent ne se réduit pas à l’enveloppe charnelle que suggère le dualisme corps/âme. Il est ce qui délimite et oriente l’agent dans l’espace social, mais aussi, inséparablement, ce qui oriente, donne sens à l’espace social dont il ne cesse, depuis sa naissance, voire dès avant celle-ci, d’incorporer sous forme d’un habitus les coordonnées, les relations et les préconisations, en fonction de la position qu’il y occupe. Les structures sociales ont ainsi une existence double, indissociablement objectivée et incorporée (Bourdieu, 1980b). L’habitus, système de dispositions durables et reproductibles à l’évaluation, à l’extériorisation corporelle (hexis) et à l’action, façonne toujours plus en retour l’incorporation (Bourdieu, 1980a, p. 98) et ne porte l’agent à reproduire les structures que dans la mesure du possible et du souhaitable, selon l’agencement et les modes d’investissement de ses différents capitaux, économique, culturel, social et symbolique.

On voit ainsi que le corps est un médiateur et un analyseur aussi peu négligeable que souvent négligé du processus de socialisation, dont les produits reposent sur des schèmes générateurs inscrits, enfouis dans les profondeurs du corps et, à ce titre, naturalisés. L’incorporation est ce qui rend possible l’appropriation intime par l’agent des structures sociales (Bourdieu, 1980b, p. 5), par inculcation ou non, et qui fait que ces structures, qui sont pourtant toujours des rapports de domination, ont toutes les chances de ne jamais lui apparaître comme tels. Elle est encore ce qui explique le miracle social qui consiste pour tout agent à se sentir (ou non, ou pas tout à fait) « comme un poisson dans l’eau » dans un monde social pourtant peu engageant, à la faveur de l’adéquation préréflexive entre les traits inscrits dans la position qu’il y occupe et les dispositions à l’occuper selon les schèmes adéquats, car incorporés, importés jadis d’un état antérieur de ce même monde. En somme, l’incorporation conditionne un apprentissage « par corps » (Bourdieu, 1980a, p. 123) d’un système social, champ relativement autonome ou non, et elle se sédimente en un « sens pratique », une « connaissance par corps » (Bourdieu, 1997, p. 163) des gestes, affects, pensées et autres conduites plus ou moins « rationnelles » que cet ordre est susceptible de reconnaître comme conformes à ses principes de fonctionnement.

 

Historique des emplois

Dans le langage courant, « incorporation » désigne l’action de faire entrer une matière (p. ex. alimentaire) dans une ou plusieurs autres matières (p. ex. alimentaires), ou, par extension, un élément dans un tout (p. ex., un territoire, une minorité ethnique, une recrue). Ces usages métaphoriques renvoient à l’origine théologique du mot qui, depuis le xve siècle, signifie l’intégration d’un pécheur sauvé par le Christ au corps mystique de celui-ci, c’est-à-dire l’Église. Au xixe siècle, Auguste Comte, précurseur de la sociologie mais aussi « grand prêtre » du « positivisme religieux », en fait une phase de la destinée où une personne morte est incorporée à l’ensemble des défunts et accède ainsi à l’« Humanité » (Comte, 1891, pp. 112 et 118).

Il semblerait qu’« incorporation » soit apparu dans le langage scientifique en 1913, par le biais de la psychanalyse freudienne (Einverleibung ; Freud, 2015). Le mot signifie le fait de faire pénétrer dans le corps, sur le mode fantasmatique, un objet extérieur pour l’y conserver en s’en appropriant les qualités. Mais l’idée d’une intériorisation de l’extériorité sociale doit beaucoup à la psychologie développementale de Jean Piaget (Lahire, 1998 ; Bronckart & Schurmans, 1999) et surtout à la phénoménologie du corps de Maurice Merleau-Ponty (Moreno Pestaña, 2006). Attentif aux découvertes en biologie et en psychologie cognitive, Merleau-Ponty a beaucoup concouru à faire de « corps » (mais non de « incorporation ») une notion philosophique pleinement légitime à partir du second après-guerre, réussissant par là à ouvrir une brèche décisive dans la réflexion des sciences humaines et sociales en la matière. En traitant le corps comme « mon point de vue sur le monde » (Merleau-Ponty, 1997, p. 85), un monde pensé notamment en termes de « champ pratique », de « positions » et de « dispositions », la créativité philosophique de Merleau-Ponty n’a pas dû manquer de stimuler le travail de modélisation sociologique de Bourdieu.

Ce dernier a bénéficié de la théorie (plutôt implicite) du corps que Durkheim esquisse en 1912 dans Les formes élémentaires de la vie religieuse (Durkheim, 2008). En introduisant le concept d’incorporation pour expliciter ce que Durkheim appelle quelquefois « pénétration » ou « incarnation », Bourdieu permet de repenser une des thèses centrales de Durkheim selon laquelle la société repose sur la présence en chaque individu de représentations et de tendances collectives qui se sont imposées à lui et fondent sa nature d’« être social » et, partant, sa qualité d’être humain (Durkheim, 2008, pp. 604-605 ; Dirkx, 2016). Mais c’est le neveu de Durkheim, auteur notamment d’une communication présentée en 1934 sous le titre « Les techniques du corps » (Mauss, 2003), qui a plus nettement mis les sciences sociales sur la voie d’une théorie du corps socialisé et des institutions comme doublement inscrites dans les choses et dans les corps (Bourdieu, 2004). Y ont participé aussi les travaux de l’école culturaliste : Edward Sapir, Erik Erikson, Ralph Linton, Ruth Benedict, Margaret Mead, Gregory Bateson, e. a. ont tous cherché à élaborer, au croisement de l’anthropologie, de la linguistique et de la psychologie, une théorie de la personnalité articulée à une théorie du rapport entre l’individu et son groupe culturel. On doit à Mead et à Bateson d’avoir mené, dans ce cadre heuristique, les premières études systématiques sur les processus d’incorporation (« embodiment ») de la culture et de ses effets (Bateson & Mead, 1942 ; Bateson, 1977 ; Sullivan, 2010).

 

Usages actuels et application récentes

De tout temps, l’étude des activités humaines s’est heurtée à la dichotomie (néo)platonicienne corps/âme, le corps étant censé relever de la médecine, de la physique, de la chimie, de la biologie ou de la physiologie, alors que l’âme ou l’une ou l’autre de ses variantes (« psychè », « raison », « esprit », « vision du monde », etc.) serait plutôt une affaire de religion, de philosophie ou de sciences humaines et sociales (Elias, 2015). L’incorporation et le sens pratique permettent de dépasser cette bipartition en donnant à appréhender le caractère inséparablement biologique et sociohistorique des pratiques humaines. Ces notions s’appliquent à l’ensemble des activités humaines, par exemple sportives (Wacquant, 2002) ou artistiques (Faure, 2000). Clef d’analyse de l’ordre social en général et de sa (re)production, le concept d’incorporation a toutes les chances d’ouvrir plus d’une perspective nouvelle sur l’ordre littéraire en particulier. Comme l’avait vu l’auteur des Règles de l’art, la littérature, domaine peu exploré par la tradition sociologique, offre le double avantage, d’une part, de reposer moins sur des règles explicites que sur des croyances incorporées, offrant un poste d’observation privilégié des dimensions symboliques du social, et, d’autre part, de proposer des discours originaux où les structures du monde social et leurs modalités d’incorporation sont centrales en même temps que transposées, voilées ou exacerbées, déniées ou révélées de manière telle que souvent la sociologie elle-même ne parvient pas à les mettre au jour (Bourdieu, 1992).

Pour ce qui est de l’écriture dans ses dimensions incorporées, la sociolinguistique et l’anthropologie la comptent depuis plusieurs décennies parmi les « techniques du corps » (Mauss, 2003 ; Leroi-Gourhan, 1964 et 1965). L’écriture littéraire peut être considérée comme le produit du sens pratique d’un écrivain particulier, notamment de son sens pratique littéraire, lui-même généré par des séries d’incorporations socialisatrices d’ordre « littéraire » intervenues avant et après son accès au champ littéraire (« littérarisation » ; Dirkx, 2010). Nombre de ces expériences, à commencer par l’apprentissage de la langue, la découverte de la langue écrite, voire de la lecture, ou encore la familiarisation avec certains fondements du discours narratif, interviennent avant l’entrée dans l’institution de littérarisation par excellence, l’École. Bernard Lahire montre que la « création littéraire » chez Franz Kafka, située « au croisement de dispositions socialement constituées et de contraintes contextuelles multiples », est liée « aux manières d’être les plus durablement inscrites dans le corps socialisé de l’auteur » (Lahire, 2010, p. 578 et 583), sans pour autant approfondir les modalités de cette incorporation, ni de l’incorporation plus spécialement littéraire. De même, les recherches d’Émilie Saunier sur Amélie Nothomb relient le traitement des corps des personnages à un rapport difficile de l’écrivaine à son propre corps, résultat d’expériences socialisatrices qui sont loin d’impliquer la seule littérature (Saunier, 2012). Le concept d’incorporation joue aussi un rôle non négligeable dans les études relatives à la socialisation genrée des écrivains (citons Charpentier, Détrez & Kréfa, 2013 ; Gemis, 2015). Il convient encore de mentionner les études sémiologiques qui, inspirées des cultural studies, gender studies et autres body studies, s’attachent à montrer comment les mondes sociaux écrivent les corps autant que ceux-ci écrivent les mondes sociaux (Zobermann, Tomiche & Spurlin, 2013).

Quant aux écrivains, ils sont nombreux à se montrer de fins observateurs, voire d’authentiques analystes spécifiquement littéraires de l’une ou l’autre forme d’incorporation qui conditionne les faits et gestes de leurs personnages. Plus d’un auteur en livre la vérité d’une manière saisissante, avec des moyens que seul le discours littéraire semble pouvoir mettre à sa disposition. Ainsi de Kafka qui, dans La métamorphose, imagine un personnage incarnant littéralement une image de soi aussi dégradante que profondément incorporée. Tenant ensemble la structure dispositionnelle sous-jacente aux préférences esthétiques de Claude Simon, le champ des possibles scripturaux dans lequel certaines de ses dispositions ont trouvé à s’exprimer et, enfin, le caractère incorporé de ces dispositions, Paul Dirkx montre comment Simon se livre à des expériences littéraires tendant à révéler la place de l’incorporation dans les croyances des personnages, dans leurs distorsions morales ou sexuelles et dans les dynamiques corporelles, y compris celles de l’écrivain se mettant lui-même en scène (Dirkx, 2011).

« En tant qu’il est le produit de l’incorporation d’un nomos, du principe de vision et de division constitutif d’un ordre social ou d’un champ, l’habitus engendre des pratiques immédiatement ajustées à cet ordre », écrit Bourdieu (1997, p. 171). Il s’ensuit notamment que l’incorporation littéraire chez tel ou tel écrivain pris dans les logiques d’un champ peut être analysée à travers l’examen de ses différentes conduites et productions littéraires (options esthétiques, genres privilégiés, lieux de publication, postures, degré de réflexivité s’agissant notamment de son propre corps écrivant, etc.) dans ce qu’elles révèlent de son adhésion, toujours complexe et évolutive, au nomos de ce champ, soit son degré d’autonomie relative. Toutefois, cette incorporation n’étant jamais « purement » littéraire, mais une composante, certes prégnante mais isolée pour les besoins de l’analyse, d’une incorporation hétérogène et discordante, elle n’est susceptible de dévoiler toute la diversité de ses effets sociopoétiques que par une attention portée aux tensions antinomiques et insolubles entre dispositions à l’autonomie et propensions à l’hétéronomie (politique, économique, médiatique, etc.) dont toutes les pratiques littéraires semblent informées à des degrés divers. En ce sens, l’incorporation littéraire gagnerait aussi à être étudiée en s’aidant du concept d’antinomie (Dirkx, 2011).

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Pour citer cet article :

Paul Dirkx, « Incorporation », dans Anthony Glinoer et Denis Saint-Amand (dir.), Le lexique socius, URL : http://ressources-socius.info/index.php/lexique/21-lexique/187-incorporation, page consultée le 18 avril 2024.

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